mercredi 31 octobre 2007

Me voilà pour mon post quotidien ( que vous lirez sûrement pas de toute façon ). Je suis en train de me replonger dans les années 90 ( c'est à dire mon enfance ) en écoutant "Free From Desire" de Gala. Je dasn sur mon siège comme un con et j'en suis fier. Mais bon ça ne vaut pas le plaisir que j'ai eu en écoutant les 3 CD mixés de Laurent Garnier inclus dans "Excess Luggage" ni même celui que j'ai eu en écoutant les albums des Youngsters. ( Comment ça tu t'en fous de ce que je raconte? Tu as bien raison va. ) Après ces 2 mois de prépas intensifs ( en théorie tout du moins ), j'avais presque oublié le plaisir qu'on pouvait prendre en écoutant de la musique durant toute une soirée. De même, pouvoir entamer un nouveau livre est également un plaisir. C'est bien mieux que de lire des cours de maths ou de physique qui sont barbants au possible et inintéressants à souhait. Ce fut donc une bonne journée. En plus, comme à peu près tous les jours depuis le début de ces vacances et bien heureusement, j'ai parlé à des personnes que j'apprécie et cela fait toujours plaisir. Et ce, même si je trouve dommage de constater qu'une de ces personnes se dénigre assez souvent alors qu'elle est plutôt intelligente et loin d'être inintéressante ( en tout cas, c'est mon avis et je le partage ). Mais, paradoxalement ( peut-être pas tant que ça ), c'est peut-être la personne avec qui je prends le plus de plaisir à parler même si parfois, on ne se dit pas grand chose de transcendant. Bref, je vais cesser l'étalage de vie avant que trop de choses ne sortent ( car il faut tout de même en garder à l'intérieur )( bon la fin de la phrase c'est pour le suspens ).

Je deviens un vrai skyblogger à raconter ma vie. Tiens je vais raconter ma journée en détail pour faire mon faire mon vrai skyblogger ( en la modifiant légèrement ):

8h00 : Ma reum entre la chambre et me dit " Debout". Je lui fais " Yo, dégage sale tepu, je me lève quand je le décide putain ". ( Ca c'est pour le côté rebelle de la société, ça fait vendre ).
10h00: Je me lève, je mets mon baggy, mon pull "Nik la sossiété" et ma casquette Reebok à l'envers. Je déjeune pas ( ça fait rebelle aussi ). Je bois un Coca-cola et je regarde KD2A.
12h00 : Je vais en ville manger un casdal avec les potes. On en profite pour casser de la bagnole de bourge en chemin quoi.
13h00 : y a un gars qui me regarde zarbi dans la street. Je lui dis : " Hé connard, tu veux ma photo". Le gars répond pas. Je lui pète la gueule quelque chose de méchant et l'envoie aux urgences.
15h00 : Je suis content, j'ai trouvé un bon gars qui m'a pris 5 kg de beu.
16h00 : Je roule à 240km/h en ville avec ma BM et les potes dedans.
18h00 : Je vais chez ma meuf qui est trop impatiente de me revoir ( tu m'étonnes).
18h00 - 22h00 : C'est privé lol ( Le vieux sous-entendu pour faire croire à une activité sexuelle intense, classique mais imparable )

Comment ça ma journée n'est pas drole? Fallait vous y attendre. Je ne sais pas être drole. Je m'inquiète parfois : je ne sais pas bien écrire, je ne sais pas être drole et j'en passe. C'pas grave, l'important c'est de participer.

Et n'oublie pas, lach t cooooooooooooooooms

Bon ok je déconne, tu n'es pas obligé de laisser un commentaire, si tu en mets 10 je ne t'en rendrai pas 20 et l'adresse de ton blog ne sera pas sur le mien. Tout commentaire n'est pas rendu. Par contre, si tu laisses un commentaire, tu gagneras mon respect éternel ( c'est déjà pas si mal non -_- )

mardi 30 octobre 2007

Les aventures de Germain

Pourquoi une "happy ending" ? Je suis sûr que vous vous posez cette question ( enfin, vous devez peut-être être deux à vous poser cette question et encore ). Non mais c'est vrai, pourquoi Germain finti-il heureux alors que l'auteur ne le finira certainement pas ( heureux )? Pourquoi une fin heureuse ( pour ceux qui comprennent que dalle à l'english )? Je vais tenter de répondre à cette question.

Une fin heureuse car c'est peut-être ce que j'aimerais connaître. Une fin heureuse car après tous les déboires qu'a connu ce pauvre Germain, il méritait bien cela. Peut-être un message d'espoir pour moi et pour d'autres qui signifierait que le bonheur peut suivre le malheur : s'il est facile de tomber au fond du trou, il est cependant possible de remonter. Dire que tout est possible, qu'une désillusion sentimentale ( Caroline ) peut entraîner l'amour recherché ( Géraldine ). Merde, un peu de positivsme de temps en temps ne fait pas de mal je pense même si cela peut provoquer des illusions car bien entendu tous les hommes ne connaissent pas une "happy ending", certains restent au fond du trou durant toute leur existence. L'histoire de Germain est donc loin d'être universelle et ce n'était pas le but recherché ( but inaccessible pour un pauvre homme comme moi ). Voilà, une fin heureuse car je souhaitais simplement montrer un peu d'optimisme. Un optimisme à prendre à petites doses car il n'est jamais trop bon de se bercer de paroles angéliques qui sont certes belles et rassurantes mais souvent erronées. C'est un peu la différence entre " Je vais m'en sortir " et " Je peux m'en sortir" . La seconde est vraie alors que la première est simplement pour se donner du courage, se donner l'illusion qu'on ne peut que s'en sortir et que tout ne peut qu'aller mieux alors qu'en fait le trou peut devenir encore plus profond. Bref, je ne vais pas repartir sur un pessimisme de mauvais aloi, alors que je veux défendre l'optimisme occasionnel.
Donc voilà, "les aventures de Germain" c'est bel et bien fini. J'espère que quelques personnes ont eu le courage de tout lire ( ou au moins une partie ) car j'avoue ne pas être une plume. J'espère que les fautes d'orthographes et les fautes de frappes ne vous ont pas trop gênés dans votre lecture. (Merde pourquoi je vouvoie moi? Bon je la refais en tutoyant.) J'espère que les fautes d'orthographes et les fautes de frappes ne t'ont pas trop gênés dans ta lecture. Je suis désolé d'avoir fourni des textes de qualités très médiocres mais on fait avec le talent qu'on a, et quand on a pas grand chose, le résultat s'en ressent. Mais bon je suis conscient de la médiocrité de mes écrits et je n'ai jamais eu la prétention d'être un écrivain ( même un mauvais ). J'ai surtout écrit cela pour moi, l'écriture étant un moyen de s'évader et de se libérer extraordinaire. Je remercie les gens qui ont lu ce que j'ai fait, qui m'ont donné leurs avis sur les différents épisodes ( positif ou négatif ( et tout le merdier :D ) ). Je remercie aussi les évènements et les personnes qui m'ont permis d'écrire toutes ces mésaventures. Personnes qui d'ailleurs ne savent peut-être pas à quel point elles m'ont influencé mais je les remercie quand même. Je pense avoir tout dit. Encore désolé pour ce long pavé.

See you soon.
A bientôt.

lundi 29 octobre 2007

Les aventures de Germain

Episode 22 ( the end of Germain's Adventures )

* "Tout a une fin, même les mauvais écrits." *

" - 12, rue Bicon s'il vous plaît, lança Germain au chauffeur du taxi.
- Parfait. "
Pour ceux qui n'ont pas lu l'épisode précédent et aussi pour ceux qui l'ont lu, il s'agit de l'adresse de Géraldine. Après 5 minutes de trajet, il était arrivé devant l'appartement de Géraldine. Il sonna à sa porte. Personne ne répondit. Géraldine ne devait pas être chez elle et pourtant Germain voulait absolument la retrouver tout de suite. Il avait déjà perdu de temps. Il se mit à réfléchir afin de savoir où est-ce qu'elle pourrait être. Il ne voyait qu'une solution : elle devait être chez Hyacinte, une grande ( pas dans le sens de la taille ) amie à elle. Il se rendit donc chez cette certaine Hyacinte qui lui ouvrit la porte avec plaisir.
" - Qu'est-ce que tu fais là Germain?
- Je cherche Géraldine. Elle n'est pas chez toi?
- Non, comme tu peux le constater."
Germain semblait abattu, il ne savait pas où trouver Géraldine et celà le rendait dingue.
" - Tu sais , Germain, Géraldine m'a tout racontée.
- Oui, je m'en doute.
- Je suis certaine qu'elle t'attend devant chez toi.
- Tu ...... es certaine?
- J'en suis sûr. Elle t'aime beaucoup tu sais. Je ne sais pas si elle pourrait vivre sans toi maintenant.
- Merci Hyacinte. Merci beaucoup. A bientôt.
- A bientôt . "
Germain courut vers son appartement à la même vitesse que Marco Pantani gravissait la montée de l'Alpe d'Huez ( c'est à dire très vite ). Il était maintenant au coin de la rue où il habitait. Il s'arrêta, interdit et à bout de souffle. Géraldine était assise sur un banc, dans le froid, devant l'immeuble de Germain. Il s'approcha doucement d'elle.
" - Géraldine, dit-il dans un murmure.
- Germain, dit Géraldine qui ne pensait plus jamais le revoir."
Elle sauta dans ses bras.
" - Germain, j'ai eu peur que tu fasses une grave bêtise, tu sais.
- Ne t'inquiètes pas, je vais bien.
- Oui. "
Elle le regarda longuement dans les yeux, sécha une larme et l'embrassa.
" - Dis Germain.
- Oui.
- Tu crois qu'on va pouvoir ... enfin ....
- Qu'on va pouvoir s'aimer comme au premier jour?
- Oui, tu penses que c'est possible?, dit-elle anxieuse.
- Non je ne le pense pas."
Une larme coula le long de la joue de Géraldine, son rêve d'amour semblait s'être évaporé avec cette réponse. Germain sourit en coin et ajouta :
" - Car j'en suis certain. "

Je posai ma caméra, ma mission semblait terminée. Ils s'étaient réconciliés pour de bon cette fois. Ils allaient vivre leur histoire amour tranquillement tandis que j'allai me taper tout le travail de rédaction. Je les regardai , tous les deux entrelacés. Ils étaient beaux je dois le reconnaître.
" - Bon je fais quoi moi? , je tiens la chandelle, dis-je en souriant.
- Bonne idée, dit Germain en rigolant. "
Il tenait Géraldine dans ses bras.
" - Je suppose que je ne dois plus te suivre Germain, demandai-je.
- En effet, je veux vivre tranquille maintenant que j'ai trouvé l'amour.
- Oui je comprends, mais bon pour mon histoire, je peux la finir là-dessus. Il me faut toute ta vie.
- Bah mets "ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. "
- Mouais, pas très convaincant. Il me faut au moins le nombre d'enfants que ça fasse mieux.
- 2, dit Germain.
- ou 3, surenchérit Géraldine.
- Bon choississez, dis-je. Je peux pas mettre 2.5
- Va pour 2, dit Germain.
- Ok je note 2.
- Parfait, ajoute qu'on s'achètera une maison en campagne, ça fait toujours un peu plus renseigné.
- Oui d'accord. Ca a été un plaisir de suivre ta vie Germain.
- Merci.
- Non vraiment.
- Bah écoute, tu m'as pas trop dérangé encore, il ya des jours, j'oubliais ta présence.
- C'était le but.
- Je sais.
- Adieu Germain.
- Adieu."
Je quittai Germain pour de bon.


Ils achetèrent une maison en campagne dans laquelle ils vécurent heureux et eurent 2 enfants.


THE END

Written by me.
Sponsorised by me.




dimanche 28 octobre 2007

Les aventures de Germain

Episode 21 ( et avant-dernier je pense )

"- Bon je vous passe les menottes, dit le policier.
- Euh, n'exagérez pas, je ne vais pas m'échapper, riposte Germain.
- On ne sait jamais, le médecin m'a dit que vous pouviez être dangereux parfois.
- Vous allez voir que je ne suis pas celui qu'ils recherchent.
- Oui nous verrons bien. Bon , montez dans la voiture. "
Germain monte dans la voiture du policier, le policier s'installe au volant.
" - Bon, c'est parti, dit le policier.
- Vous dites souvent "bon" je trouve.
- Moi, je trouve que vous devriez la fermer parfois.
- Pas la peine d'être si agressif.
- Je suis agressif si je veux, non mais. "
Germain trouva plus prudent de se taire durant le reste du trajet. D'ailleurs, celui-ci ne dura pas longtemps. Ils étaient arrivés à l'asile.
" - Bon, sortez de la voiture. "
Le policier le prit par le bras et l'emmena à l'intérieur de l'asile. Il s'approcha d'une très charmante réceptionniste.
" - Bonjour mademoiselle, je voudrais parler au chef de cette clinique.
- C'est vous qui devait nous ramener un évadé?
- Exactement, je suis l'inspecteur Bonneau."
Il montre sa carte d'inspecteur avec fierté et en bombant le torse.
" - Vous le trouverez dans son bureau, au fond à gauche. "
L'inspecteur se dirigea donc vers le fond du couloir. Malheureusement, la réceptionniste semblait s'être trompé car l'inspecteur se trouvait devant les toilettes.
Germain intervint :
" - Si je peux me permettre, elle a dit de prendre à gauche et non à droite.
- Ah oui, merci, répondit l'inspecteur, acceptant mal cette erreur. "
Ils arrivèrent devant le bureau du chef, toquèrent.
" Entrez " fit une voix qui avait l'habitude de dire " Entrez " .
Ils entrèrent. L'inspecteur prit la parole.
" - Bonjour docteur, je vous ramène Germain l'évadé ( la suite de Jack l'éventreur )."
Le docteur resta bouche bée quelques secondes, puis dit :
" - Je crains que vous vous soyez trompé inspecteur, ce n'est point l'individu que nous recherchons.
- Mais , dit l'inspecteur. Il s'appelle Germain.
- Certes, mais il n'est pas le seul. Le Germain que nous recherchons est chauve.
- Mais c'est peut-être une perruque. "
Le policier tira les cheveux de Germain qui pousse un gros "Aïe". Le docteur commença à sourire.
" -Vous voyez bien que vous faîtes erreur inspecteur.
- Mais cet individu est peut-être fou quand même.
- Je ne pense pas voyez-vous. Il m'a l'air sain d'esprit. Vous n'avez plus qu'à le relâcher.
- Bon excusez moi docteur pour le dérangement.
- Ce n'est pa grave. Bonne journée messieurs.
- Bonne journée. "
Le policier et Germain sortirent de l'asile Boli.
" - Suis-je enfin libre monsieur , demanda Germain.
- Non, vous allez m'accompagner au poste pour me dire ce que vous faisiez dans ce camion-poubelle.
- Comme ça, je pourrais raconter à votre supérieur que vous m'avez tiré violemment les cheveux en me prenant pour un aliéné. "
L'inspecteur rougit jusqu'aux oreilles.
" - Bon, foutez le camp.
- Merci.
- Et que je ne vous revois plus.
- Y a pas de risques. "
Germain quitta le policier et s'engouffra dans le premier taxi qu'il trouva.

dimanche 14 octobre 2007

Bon je vais vous faire partager mes coups de coeur de la semaine ( même si vous vous en foutez ). Je suis généreux quand même non? C'est l'intention qui compte de toute façon comme on dit :
(Faut doublecliquer sur le lecteur pour que ça marche )


free music


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Tiens une réflexion interessante : Que feriez-vous si vous deveniez un héros durant un jour? Genre un jour, Dieu vient et te dis : " Bon, mon petit, aujourd'hui t'es un héros. Tu peux faire ce que tu veux. Attention, c'est juste valable aujourd'hui. " Bon, je te le concède, y en a des trucs à changer dans ce monde et je crois qu'il faudrait être un héros pendant 10 ans pour tout changer. Un monde qui devient de plus en plus basé sur l'illusion. Je sais de quoi je parle, je suis en prépa. Aujourd'hui "avoir l'air" suffit. Le paraître triomphe sur l'être. C'est triste à dire et à constater mais c'est comme ça. Par exemple, parlons de la prépa, tout le monde croit qu'un élève de prépa est intelligent car il est prépa. Or c'est totalement faux, tout élève de prépa a l'air intelligent car il peut frimer en parlant d'isomorphismes ou de difféomorphismes ( qui servent à pas grand chose, soyons franc ) alors que certains ne savent pas faire une phrase complète sans fautes d'orthographe et n'ont aucune culture littéraire ou encore musicale, filmographique voire même scientifique. En effet, la culture n'est pas utile pour réussir en prépa. Il suffit d'être un robot pour réussir. Une sorte de machine à apprendre. Je n'ai pas envie d'être cela, être considéré comme intelligent car je suis en prépa ne m'intéresse pas. Devenir une tête bien pleine de notions inutiles et compliqué alors que j'ai déjà du mal ( comme tout le monde ) avec certaines bases. N'être doué que pour les maths et la physique en délaissant le reste ne m'intéresse pas non plus. Jouer à celui qui sera le mieux classé ne m'amuse pas. Bref, je n'ai pas envie de faire semblant d'être intelligent. Je suis aussi con qu'un autre et je l'assume.

dimanche 7 octobre 2007

Comme toutes les semaines, je vais laisser un message sur mon blog. N'en ayant pas encore écrit cette semaine, je me dois d'en écrire un aujourd'hui.

La sensation du jour ( nouveau concept que je viens d'inventer avec ma cervelle à moi ) : j'ai l'impression d'être un escaladeur et que mon défi est d'escalader le pic de la réussite et du bonheur. Je suis toujours vers le bas de ce pic, juste en dessous d'une faille qui bloque mon ascension. Je regarde en l'air, et vois un nombre impressionnant de personnes qui grimpent de façon décontractée. Plus ils sont hauts, plus leur sourire est radieux. Je vois aussi le sommet qui semble être à des milliers de kilomètres. De temps en temps, je vois quelqu'un qui tombe et qui ainsi se retrouve plus bas que moi. Souvent ces personnes n'arrivent plus jamais à regrimper ce pic. Sinon il y a moi, immobile en bas de ce pic, qui ne grimpe pas mais qui ne descend pas non plus. Je me tiens à une paroi qui, pour le moment, semble tenir bon. Mais pour combien de temps encore?