7ème volet
Un choc me réveilla et j'émis un "Aïe" de douleur. Je compris très vite ce qui m'arrivait. J'avais passé la nuit à dormir sur le paillasson juste devant l'appartement de Germain et bien entendu lorsuq'au petit matin, Germain ouvrit la porte pour sortir de chez lui, il me percuta et c'est ce qui me réveilla. Germain semblait surpris de me voir couché sur son paillasson et il me demanda:
- Qu'est-ce que tu fous là?
- Bah souviens-toi, tu m'as jeté dehors hier soir donc j'ai du dormir ici.
- Ah oui, c'est vrai. Bon je dois y aller. Mon travail m'attend. Je te laisse le soin de fermer cette porte. Il reste encore du café pour ton petit-déj.
- Merci beaucoup.
- De rien. Sinon j'espère que t'as bientôt fini ton livre car j'en ai marre que tu me suive tout le temps à la trace.
- Oui bientôt.
Germain partit, dévalant les escaliers six à six ( il a de grandes jambes ). J'entrai dans l'appart et fermai la porte derrière moi. J'étais seul dans cet appart et l'envie me prit d'aller dans la chambre de Germain afin de lui emprunter un ou deux livres. Je m'apporchai de la chambre et remarquai que la porte de la chambre était entrouverte. Je vis, alors que je poussai la porte, la délicieuse Géraldine, encore toute nue, qui commençait à s'habiller. Je l'avais complètement oublié. J'admirai pendant 5 secondes ses formes parfaites et sa beauté saisissante. Elle me remarqua assez vite et avec un petit sourire me dit :
- Faut pas vous gêner. J'aimerais m'habiller en tranquilité.
- Excusez-moi, je voulais pas vous déranger.
- C'est pas grave.
Je reculai donc doucement tout en regardant toujours Géraldine et me dirigeai vers la cuisine. Je préparai deux petits-déjeuners. Géraldine arriva dans la cuisine et dit:
- Merci d'avoir pensé à moi. En plus j'ai drolement faim.
La suite du petit-déjeuner se déroula en silence. Ensuite je suivis Géraldine qui entreprit la visite de tout l'appartement. En effet, elle n'avait vu pour le moment que la chambre et le salon. Elle semblait intéressé par la collection de CD de Germain et en trouvant des albums de Air, Ulrich Schnauss et William Orbit, elle se dit qu'elle avait de la chance d'avoir un homme si romantique et si émotif. Elle se posa sur un fauteuil et écouta l'album "A Strangely isolated Place" de Ulrich Schnauss. La suite de la matinée n'a absolument aucun intérêt. Il était midi lorsque la porte de l'appartement s'ouvrit et qu'entra Germain qui avait fini sa journée de travail. Il dit :
- Géraldine, c'est moi.
Elle rejoint Germain et ils s'embrassèrent.
- Alors t'as passé une bonne matinée, s'enquiert Géraldine.
- Oui impec et toi?
- Impec aussi.
Il l'embrassa une nouvelle fois devant mes yeux. Quel métier de merde que de suivre un gars qui fait tomber une charmante demoiselle mais bon à 7500 euros par semaine, ça vaut bien le coup. Tout à coup, je vis une lueur coquine dans les yeux de Géraldine et me dit que j'allais peut-être passer un bon moment. Je me cacha donc dans un coin afin d'assister à la suite des évènements. Géraldine dit à Germain:
- Ne bouge surtout pas.
Elle mit de la musique qu'on peut caractérisée de sexy puis elle commença par enlever son T-shirt sous les yeux ébahis de Germain. Elle se frottait contre lui. Puis elle nelve ce que l'on appelle communément son soutien-gorge. Inutile de vous dire que je ne loupais pas une miette de ce spectacle. Et à chaque fois qu'elle enlevait un élément je me disais : " Mais qu'est-ce qu'elle est jolie". Puis elle ensuite elle déshabilla le petit Germain qui semblait encore sous le coup de l'émotion.
Malencontreusement pour vous, je ne puis vous raconter la suite pour cause de censure. Je peux simplement vous dire que je n'en ai pas loupé une miette et que plusieurs j'ai voulu sortir de ma cachette et dire : "je peux venir".
mardi 3 avril 2007
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
Quel petit coquinou. '_'
Enregistrer un commentaire